Save Tibors, save the world

je pense que c'est lui qui nous a aidé à Kastellin, comme il m'a aidé lorsque je luttais contre la corruption du denier de Judas.
Vous rappelez vous ce qu'il vous a dit lorsqu'il est passé à l'Alliance ?

Mise au point sur les différents courriers :

Je pense que nous pouvons envoyer un courrier à Ancelme, courrier diplomatique, lui signifiant que nous sommes intervenu pour empecher le retour du druide noir avec Tibors (comme lui l'avait fait avec le père de tibors). courrier diplomatique à rédiger par Aodren

Pour l'instant aucun courrier n'a été envoyé.

Nous enverrons un messager pour alerter Pelnor de ce qui s'est passé ici nous verrons bien ce qu'il décide vis à vis du domaine et de l’héritière, en attendant nous accueillerons les survivants.

Pareil, pour l'instant aucun courrier n'a été envoyé à Sire Pelnor ni confié à Ogier racontant l'épisode de Kastellin.

Je pense qu'il ne faut pas attendre le Tribunal pour en parler.
Il faut en avertir Confluencis, par la voix de notre Guernicus, Xzyl !

Pareil, aucune Lettre n'est parti en direction du Tribunal.

Perkrax n'est pas opposé à ce que Veritas Alibi envoie un courrier officiel à Geirlaud en plus.

Pareil aucune lettre n'est parti en direction de Geirlaug

Blanche a envoyé le sien.

Asmodeus Mogart a écrit:Mise au point sur les différents courriers :

Je pense que nous pouvons envoyer un courrier à Ancelme, courrier diplomatique, lui signifiant que nous sommes intervenu pour empecher le retour du druide noir avec Tibors (comme lui l'avait fait avec le père de tibors). courrier diplomatique à rédiger par Aodren

Pour l'instant aucun courrier n'a été envoyé.

Nous enverrons un messager pour alerter Pelnor de ce qui s'est passé ici nous verrons bien ce qu'il décide vis à vis du domaine et de l’héritière, en attendant nous accueillerons les survivants.

Pareil, pour l'instant aucun courrier n'a été envoyé à Sire Pelnor ni confié à Ogier racontant l'épisode de Kastellin.

Je pense qu'il ne faut pas attendre le Tribunal pour en parler.
Il faut en avertir Confluencis, par la voix de notre Guernicus, Xzyl !

Pareil, aucune Lettre n'est parti en direction du Tribunal.

Perkrax n'est pas opposé à ce que Veritas Alibi envoie un courrier officiel à Geirlaud en plus.

Pareil aucune lettre n'est parti en direction de Geirlaug

I beg to desagree.
Un courrier est bel et bien parti pour Pelnore. Un autre st bel et bien parti pour Anselme. Un dernier est bel et bien parti pour la Duchesse de Bretagne (conduit par Tibors lui-même s'il est en état).
Pour les deux derniers, mages, par contre en effet ce n'est pas fait.

Certes je n'ai pas écrit les courriers. Pas le temps ni la motivation (semaljeussai). mais on a précisé en partie que c'était fait et rapidement ce qu'il y avait dedans. La preuve, Ogier a saisi l’échappatoire.
Je vais essayer de bosser là-dessus demain matin ds le bus mais sans engagment de moyen ni de résultats...

OK pour les 2 lettres.
Qui les a écrites, Tibors étant incapables de tenir une plume (reste les mages) ?
Tu as pu les dicter pendant la pause à l’alliance du Cheval Sacré.

Reste une question qui les a prise pour les remettre.
As tu confié à ogier la lettre pour Sire Pelnor ?
A qui as tu confié la lettre pour la Duchesse ?

Pour ce qui a dedans
- concernant celle de Sire Pelnor, tu n'as pas besoin la faire si le temps te manques, dis moi juste ce que tu as décidé de dire et de passer sous silence.
- Concernant celle à la Duchesse euh......pas besoin de la faire intégralement... dis moi ce que tu dis ou demandes. C'est la plus importantes des 2.

C'est Ogier qui a rédigé.
Pour moi on l'a joué en partie celle de Tibors. Un peu à la va vite, cela dit. Je sais plus ce que j'ai dit.

Pour la Duchesse, Tibors irait bien lui-même... mais bon j'imagine que c'est pas possible ?

Pour la Duchesse, Tibors irait bien lui-même... mais bon j'imagine que c'est pas possible ?

Dans l'état où tu es, non ce n'est pas possible !!!

Parfait pour celle de Sire Pelnor.

Mes notes de l'antépénultième partie :
Tibors fait écrire 4 courriers : Pelnore (Ogier est parti), Anselme (Jehan la porte), « Hommes de Tibors » (fausse lettre, portée par un quidam), Duchesse (porté par Gaëtan).

Je vous l'accorde, c'est pas hyper détaillé.

Tibors fait écrire 4 courriers : Pelnore (Ogier est parti), Anselme (Jehan la porte), « Hommes de Tibors » (fausse lettre, portée par un quidam), Duchesse (porté par Gaëtan).

Il me faut juste pour la chronologie de l'histoire la date d'expédition des Lettres.

Celle de Pelnor est partie avec Ogier => OK

Les autres ont du partir pendant que Tibors était en convalescence à Blain.

Pour moi les 4 sont parties en même temps.

L'idée de la "fausse" lettre destinée aux hommes de Tibors qui arrive au manoir était de Xzyl. Il s'agissait de dire que Tibors luttait ds le nord, qu'il ne reviendrait pas tt de suite... Odnis, si tu peux détailler.
Si en plus on peut lui mettre un lien dedans pour qu'Ulfius puisse se téléporter dedans ou qu'on puisse entendre sur place, c'est mieux.

Pour Croac, j'ai une autre idée : après avoir réglé tous les problèmes, ils pourraient devenir Cape Rouge de notre Alliance, non? (est-ce au moins possible au niveau de l'ordre?)

C'est pas bête. Le gros soucis c'est saint brieuc qui cherchera à l'éliminer mais l'idée est à creuser.

Cape Rouge je sais pas.
Par contre il ne faut pas se précipiter à le libérer. Il peut pas mal nous apporter pour peu que l'on puisse le protéger et que sa fidélité soit acquise.

Il a de toute façon certainement bcp de choses à nous apprendre sur Cormalin etc.

Nous avions eu l'idée de mener Grimonin à Parieta via les templiers en y déposant une lettre cachée. Le seul soucis étant l'accès à la chambre du commandant. Or Croac peut facilement y accéder si la fenêtre est ouverte...

Tibors était immobile depuis plus d’une heure, scrutant le plafond, détaillant chaque anfractuosité du lambris usé. L’auberge était plutôt confortable mais pas non plus luxueuse. Childeric avait fait au mieux, sachant que la situation pouvait possiblement durer et qu’il valait mieux éviter de puiser trop profondément dans les finances.
A côté, il entendait la respiration douce et lente de la lépreuse… ou plutôt la miraculée.
Tibors ne la voyait pas mais savait qu’elle était là. Attentive, dévouée, immobile, comme toujours. Si facile à oublier.
Plus loin, Maurin devait patienter assis sur une chaise. A moins qu’il ne soit descendu dans la salle commune prendre une cervoise. L’homme était dévoué, lui aussi. Comme l’était chacun de ses hommes.
Tibors avait toujours cette propension à agir comme un adolescent insouciant. Et pourtant, il avait su fédérer autour de lui des hommes fidèles. Une chance… ?
Tibors n’était plus le jeune insouciant qu’il était. Il ne pouvait plus l’être. Ses hommes dépendaient de lui. Les habitants de Fay dépendaient de lui !
Il avait envie de tout lâcher. De leur dire de se débrouiller seul. De partir voyager, chasser le dragon, séduire la donzelle d’auberge en auberge… Gaïa !
Non. Il ne pouvait pas. Ce n’était plus lui.

Tibors bougea sur le lit et la douleur en profita pour se rappeler à lui. Son corps entier n’était que douleur. Le chevalier ne put réprimer un gémissement de souffrance. Aussitôt, la jeune miraculée se pencha sur lui. D’un geste de la main, Tibors lui indiqua que tout allait bien. La jeune femme, docile, se rassit à son chevet.

Une épreuve. Dieu ou la vie le mettaient à l’épreuve. C’était certain.

Tibors repensa à ces derniers mois.
Il avait honoré les dernières volontés de feu son père quand il aurait pu acquérir fortune et pouvoir. Il avait été fidèle à Gaïa alors que la jeune femme était perdue il ne savait où. Il avait pris très à cœur son statut de preux chevalier.
Aussi dur que cela soit à admettre, il était quelque part devenu adulte. Sans s’en rendre compte. Il voulait réfuter cela. Retourner profiter de la vie comme si elle n’apporterait pas de lendemain… Le voulait-il vraiment ?

Tibors se retourna sur le côté. Aussitôt, la jeune femme se redressa. Derrière elle, la silhouette de Maurin se dessina. Il n’était donc pas parti prendre une cervoise mais était là lui aussi.
- Donne-moi ma sacoche, s’il te plaît, parvint-il à murmurer. Et laissez-moi quelques minutes. Je dois prier. Seul.

La jeune femme hésita, regarda Maurin pour recueillir un conseil. Mais le jeune soldat ne savait pas plus comment réagir.
- S’il vous plaît, insista Tibors avec un regard bienveillant.

La femme et le soldat se levèrent tous les deux et s’exécutèrent.