Ce que fait Tibors pendant que les autres se prélassent à Brest

Reprenons ici, en aparté ce que fait Tibors.
(tu pourras où non rendre public ce qui t'arrive)

Reprenons à ton départ :

Tibors dévisage Meloar, surpris. Est-ce une façon pour parler à un preu Chevalier, fils du Baron de Penthièvre et Sauveur de Fay de Bretagne ?
"Je ne lui veux rien à Lug, répond Tibors de façon altière. Je suis juste surpris de ne pas le voir ici.
Cela dit, on m'ordonne de venir alors que je n'ai, que je sache, pas vraiment d'ordres à recevoir de qui que ce soit. Et maintenant on m'éconduit comme un malpropre. Vous direz à Stanislas et à sa légendaire bienveillance que je garde le médaillon mais que je ne compte pas remettre les pieds ici tant que les autres mages ne sont pas revenus ou tant que je n'ai pas reçu d'excuses de sa part."

Tibors se retourne et prend la direction de la sortie, finalement plus déçu que véritablement offusqué.
Au moment de passer la porte il se retourne :
"Et vous direz aussi à ce légendaire bienveillant de Stanislas de ne plus remettre les pieds au village de Fay où il n'est décidément pas le bienvenu et où j'ai toutes les peines à réparer le tort qu'il crée à l'Alliance."

Tu es allé à l'auberge, tout de même un peu ennuyé par la tournure des choses.
Tu commence à prendre ombrage de cette alliance et de cette façon de gérer les vulgaires, cela te rappelle ton frère.

Tu te couches légèrement contrarié, tu sais que ça te passera avec une bonne nuit de sommeil. Tu n'es pas d'un naturel à te prendre la tête.

Tu fais un Cauchemar. Terrible.

Le cauchemar

Tu marches, cours. Il faut que tu t’échappes avant qu’on te rattrape.
Tu cours. La forêt/jungle débouche sur un quai en pierre.
En jetant un coup d’œil rapide derrière ton épaule tu aperçois une masse de bâtiment d’un rose-brun étrange.
L’atmosphère est étouffante, il fait chaud, tu as chaud.
Une petite barque remplie d’eau croupie est accrochée au quai ; Tu sautes dedans et saisi la grande perche qui te sers à avancer. Tu appuis de toute tes forces et la petite barque s’éloigne du quai.
L’eau est noire, agitée de multiples remous. Tu sais qu'il te faut arriver jusqu’au delta qui plonge dans la mer pour t’échapper.
Tu avances depuis un temps incalculable, plusieurs heures, jours, années…..
Tes mains sont en sang à force d’appuyer sur la perche pour avancer.
Tu sens toujours derrière toi qu’on te cherche, inlassablement.
Tu avances, la mer se rapproche, bientôt tu seras en sécurité.
La mer est là, toute proche. Tu sens l'odeur du sel, de l'iode.
Tu entends du bruit, ton nom. Quel nom ?
Tu vois sur la rive Catherine. Elle coure, à perdre haleine. Elle t’appelle.
Tu diriges la barque vers elle. Elle court pour te rejoindre.
Tu lui tends la main pour qu’elle puisse monter dans la Barque au moment où vos 2 mains se rejoignent, se touchent pour ne plus faire qu’une, un énorme bruit se fait entendre.
Le fleuve s’ouvre en 2. La terre se déchire, vous allez être avalés. Tu vois ton visage, le Visage de Stanislas, rempli de terreur se refléter dans le Médaillon de sa sœur.

Une lumière intense se fait jour, t’enveloppant et t'extirpant de ce corps.
Tu flottes nimbé par cette aura lumineuse, tranquille, spectateur de cette scène titanesque.

Stanislas et Catherine, leurs mains soudés l'une à l'autre basculent dans le gouffre. Ils sont pris à l'intérieur d'une sorte de schéma luminescent qui ne peut-être que magique.
Ils vont sombrer dans l'âbime.

Un éclair d’un puissance inimaginable les frappe.
Tu entends/ressens un sentiment de rage intense.

Tu te reveilles.
Tout les chiens du village hurlent à la mort.

Ton Orbe brille de mille feux, te nimbant dans une aura lumineuse.

Hormis le hurlement des chiens pas un bruit.

Tu as perdu un Niveau de fatigue à long terme.

Tibors met un peu de temps à "digérer" ce rêve.
C'est lié à Stanislas et Catherine... mais faut-il s'inquiéter ? L'orbe brille de 1000 feux. C'est une preuve qu'il s'est passé quelque chose de grave ou au moins d'important. tibors la couvre avec une couverture, au moins pour que si qq'un passe dans un couloir de l'auberge il ne s'interroge pas sur cette étrange lumière.

Après un temps de réflexion, Tibors, bien que crevé, décide de se vêtir, prend son épée, emmitoufle son orbe mais la tient bien serrée contre lui (elle brille tjs autant après qq minutes ?) et sort prudemment de sa chambre d'auberge, en prenant soin de ne pas faire de bruit (sans pour autant enlever ses chausses ou la jouer voleur ultra silencieux).

Il sort de l'auberge et tente de voir ce qui se passe dans le village.

Petit à petit les chiens se taisent.

Tu descends l'escalier. Il n'y'a aucun bruit.
Le petit palefrenier/gate sauce/grouillot est endormi près de la cheminée enroulé dans sa couverture.
Pas un bruit.

Tu t'aventures dehors.

Tout est calme très calme.
En jetant un coup d'oeil à ton orbe, tu t'aperçois qu'elle est toujours illuminé.

La nuit est noire. Absolument noire. La lumière des étoiles ou de la lune est caché par de lourds nuages bas.

Il n'y a aucun bruit dans le village, tout semble paisible. Les gens dorment. Profondément (seraient-ils tous morts qu'il feraient plus de bruit !!!!)

Tu sens tout de même une atmosphère pesante. Tu ne sais pas quoi; Ou alors ce sont les réminiscences de ce cauchemar !

Aller jusqu'à l'Alliance dans une nuit noire c'est jouable ?

Tibors sert son orbe comme s'il s'agissait d'un bouclier et garde l'autre main sur le pommeau de son épée.
Il se dirige à l'écurie pour voir si son cheval lui aussi dort ou comme les chiens, est agité.

Selon ce qu'il en est, il le selle et le prépare puis se dirige vers l'Alliance. C'est risqué mais Tibors croit en sa bonne étoile.

Tu t'avances vers les écuries, et d'un seule coup cette évidence te frappe comme un coup de poing.
Il n'y a pas de BRUIT.
Mais vraiment pas. Pas de ululement de chouette, pas de cri-cri, pas de crissement des feuilles provoqués par des petits lapinous gambadant, il n'y a tout simplement aucun bruit de la nature comme si celle-ci avait fuit ce lieu.

Cette absence de bruit t'a complètement désorienté mais maintenant que tu as mis le doigt dessus, tu te sens mieux. Simplement y'a pas de bruit, c'est étrange mais tu ne vas pas en faire un flan non plus.
Par contre maintenant que ton cerveau a identifié ce problème, il peut se consacrer à autre chose. Notamment, il te souffle que si le premier réflexe d'un chevalier c'est de courir vers sa monture et de chevaucher sus à l'ennemi, là par une nuit noire, aller à l'alliance en plein milieu des bois, c'est tenté un peu trop la chance. La seule chose que tu risques de faire c'est cassé une patte à ton cheval ou te fendre la tête sur une branche basse. Sans compter que tu iras moins vite qu'à pied.

.......

(Alors, à pied ou à cheval ?)

Oui c'était bien ma question : est-ce jouable de rejoindre l'Alliance, en particulier à cheval.

Donc Tibors ne se pose même pas la question. Il ne risquera pas la vie de ce brave Loyal (c'est le nom de son cheval... je trouve que c'est un nom très ds l'esprit de Tibors) et ira seul, affronter l'inconnu. Tibors n'avouera évidemment pas qu'il s'inquiète un peu !

Son orbe dans une main, l'autre serrée sur son épée, il quitte Fay et s'avance prudemment vers l'Alliance. En prenant soin de "voir" où il met les pieds par cette nuit noir et en restant attentif au moindre son et signe de danger.

Il s'enfonce dans les bois.
La nuit est noire et silencieuse.

Au bout d'un moment, il a l'impression de tourner en rond.

Il ne retrouve pas l'alliance !!!!!

Lance-moi un dé

Et retrouvera l'Alliance pour sauver les pauvres membres de l'Alliance de Stanislas... voir peut-être même Stanislas du mal qui s'est emparé de lui !

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'D10' : 10

tadam !
(c'est un 10 hein, pas un botch ?)

Après avoir tourner en rond une petite heure tu retrouves ton chemin.

L'alliance est totalement silencieuse.

Pas un bruit.

Tu as un petit frisson, le températures sont basses et ta randonnée à travers bois ne t'a pas réchauffée.

Tu t'avances.

A l'intérieur tu trouves tout le monde très profondément endormis.

L'escalier menant au sous-sol est toujours remonté, tu ne peux pas accéder en bas.

Je vérifie que les gens dorment et non quelque chose de plus grave : inconscients, voir morts.
J'allume une lanterne et inspecte les lieux pour voir s'il n'y a rien de suspect.
Puis je tente de réveiller Eliaz le scribe.

Tu n'arrives pas à le reveiller.
Il dort profondément. Très profondément.
(à moins d'un secouage en règles, j'ai pas dit une paire de taloche.....)

Tant pis.
J'ai toujours mon médaillon que je n'ai pas rendu et tente donc de descendre vers le sous-sol.

Rien à faire.
Cela ne s'ouvre pas.

Tu mets l'étoile où elle doit être et .... rien ne se passe....

Aïe... voilà qui n'est pas pour rassurer.

Il y a un endroit où frapper pour annoncer sa présence ? Ou une cloche ou autre ? Si oui j'utilise.
Sinon, je m'accorde une 30aine de minutes pour essayer de réveiller les autres personnes présentes mais sans y aller plus fort que quelques claques (non je ne ferai pas une saignée pour les réveiller ou pire... hum ça me rappelle une partie de Vampire ça)

Si vraiment rien ne se passe, je décide de repartir (avec une lanterne cette fois) et de retourner à l'entrée du souterrain pour passer par là.

Tu arrives après moults secouagse et tapotements à réveiller la maisonnée.

Tout est normal. Ils n'ont rien constatés, sauf que tous croient avoir fait un terrible cauchemar dont ils ne se souviennent absolument pas. C'est juste une mauvaise impression.

Mais au fait, pourquoi les réveilles-tu et pourquoi es tu là en pleine nuit ? (te demandent-ils tous, sans agressivité)

"Il est arrivé quelque chose de terrible à Stanislas ! Je suis là pour le sauver, comme j'ai sauvé Fay de Bretagne !
Il faut à tout prix que je puisse descendre au sous-sol, sa vie en dépend !"
dis-je avec ma voix la plus dramatique, posée et ferme possible.

un petit jet de Leadership s'impose tout de même

aucun soucis !

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'D10' : 1

x2

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'D10' : 1

(j'ai trouvé comment piraté le lanceur de dés) :p