1193 Tibors le Chevalier

Tu as croisé à plusieurs fois Raoul de Fougères, un seigneur très proche de Goeffroy (bien qu'ils eut été ennemi quand Geoffroy n'était encore qu'un Anglais, le fils d'Henri II). C'est un ennemi irréconciliable des Anglais.
Quand celui-ci mourut il se montra un des plus zélés défenseurs des droits de la duchesse Constance contre les prétentions des rois Henri et Richard qui réclamèrent successivement la garde des Etats et de la personne du Jeune Arthur pendant sa minorité.
C'est en partie à ses généreux efforts ainsi qu'a une petite garde courageuse et vaillante que la Duchesse Constance put conserver ses droits de souveraine et de mère.

C'est aussi à cause de son insistance que tu es resté auprès de la Duchesse Constance pendant qu'il partait en croisade pour la terre sainte. Tu l'aurais bien suivit..….. Mais comme il te l'expliqua alors, le devoir vient avant tout. Lui-même avait attendu 25 ans avant de pouvoir partir en croisade.

Il te demande de surveiller de loin, Ranulph de Blondeville, le Mari de Constance qu'Henri II lui a imposé. Le Roi Richard n'est plus là, une rumeur le dit mort en terre sainte. Jean Sans terre cherche des Alliés, il a rendu hommage à Phillippe Auguste sur ses domaines continentaux et il veut à étendre son influence en Bretagne. Des Normands viennent d'arriver à la cour.

Il y'a de nombreuses escarmouches entre anglais/normands et Bretons.

Tout ça pour dire que la situation est tendu à Nantes mais pour l'instant tu es parti à Fougères rendre hommage à Raoul pour son retour de terre Sainte.

Est ce que ça te va comme Background ?

Asmodeus Mogart a écrit:Est ce que ça te va comme Background ?

euh oui ça me va mais...

Tu arrives dans les domaines de Fougères.
Raoul de Fougères t'accueille.

Après une période de libation et de détente, il t'ouvre son coeur.
Il va se retirer en l'abbaye de Savigny.

Son petit fils Geoffroy devrait lui succéder. Peux tu le prendre sous tes ordres en tant qu’écuyer pour lui apprendre le métier de Chevalier ?
Voilà la demande de Raoul de Fougères.

Si il devait lui arriver malheur, c'est son frère (à Raoul) qui serait le régent jusqu'à la majorité de Geoffroy.

[HRP]
Tu peux me refaire un état des lieux de qui est qui ?
Le Geoffroy c'est qui ? Son père c'est qui? etc.
[/HRP]

Hou là c'est beaucoup d'honneur (et de responsabilités et donc d'honneur en perspective).
Tibors se laisse un temps de réflexion. Le choix d'un écuyer n'est pas chose anodine.
Mais il accepte. (enfin sauf si surprise dans ce que tu me répondras dans le HRP.

Raoul II de Fougères
Voici les informations que tu as sur lui avec ce qu'il te dit et ce que tu savais avant.
Raoul II de fougères fut longtemps en conflit avec Henri II de Plantagenet le roi d'Angleterre.
Lorsque Geoffroy devint duc de Bretagne il voulut s'appuyer sur certains grands seigneurs bretons adversaires de son père. Raoul devint sénéchal de Bretagne en 1184. Le seigneur de Fougères fut l'un des principal soutien de Geoffroy. A la mort de celui-ci il appuya les prétentions d'Arthur au Duché de Bretagne et devenant son protecteur.
C'est dans cette fonction que tu l'as connu principalement et que celui-ci a appris à te faire confiance.

C'est un homme qui a beaucoup vécu, dur, limite impitoyable. Un homme de guerre.
Et comme beaucoup d’autres hommes de guerre, il doit considérer que le pardon de ses fautes, qui ne devaient pas être minces, le salut de son âme et surtout son accès au paradis, passaient par une petite période de vie monastique au sein de l’abbaye qu’il avait enrichi. Il va donc se retirer en l'abbaye de Sabigny.

C'est pour assurer sa succession qu'il demande de former son petit fils Geoffroy. Tout ses fils et filles étant morts.

Le père de Goeffroy était Alain de Fougères.
Pour l'instant il n'y a qu'un seul survivant dans la lignée des Fougères, c'est le frère de Raoul II (c'est à dire le grand oncle de Geoffroy) dit l'angevin.

En 1193 Geoffroy à 13 ans (il est né en 1180).

Est ce plus clair ?

Est ce que tu acceptes ?

Que fais tu après ?

Asmodeus Mogart a écrit:
Est ce plus clair ?

Oui c'est plus clair. Mais c'est dur et je vois que j'atteins mes limites de capacité dans des intrigues politiques complexes avec mon tps de neurones dispo pour Ars. Du coup je regrette de ne pas en avoir plus car il y a des choses que je survolle et donc des décisions que mes persos prennent peut-être un peu à la légère (ou ne prennent pas faute de temps)

Asmodeus Mogart a écrit:
Est ce que tu acceptes ?

Tibors accepte et remercie de cette marque de confiance.
13 ans c'est presque un homme mais Tibors sera fier et heureux de l'accompagner dans ce passage à l'âge adulte et de faire tout son possible pour lui inculquer les valeurs morales de tout bon chevalier.

Asmodeus Mogart a écrit:
Que fais tu après ?

Tibors propose de repasser ici dans quelques mois à son retour de mission pour prendre Geoffroy sous son aile... à moins que Geoffroy ne soit disponible de suite et que son grand père insiste pour qu'il l'accompagne dès maintenant. mais attention, il est probable que la quête d'honneur qu'il a en cours soit dangereuse.
Il se rend en effet auprès de l'ancien écuyer de son propre père dont il est sans nouvelles depuis près d'un an. Et tout porte à croire qu'il lui soit arrivé le pire.

[HRP]
Tibors dit ça à la fois pour montrer sa bravour et son honneur... mais aussi pour mettre en garde et éviter d'avoir dans les pâtes un jeune homme qui soit plus une gene qu'atre chose

A ton retour ce sera parfait.

Que fais tu après être passer chez Raoul II de Fougères ?

Asmodeus Mogart a écrit:Que fais tu après être passer chez Raoul II de Fougères  ?

Après son passage chez Raoul II de Fougères, Tibors se rends directement chez l'ancien écuyer de son père, Adrien de Châtelain, ancien capitaine de la garde de Blain. depuis installé sur ses terres et qui n'est pas venu au mariage de ma soeur et n'a pas donné de nvl depuis un an.

Avec quel troupe as tu entrepris ce long périple en Bretagne ?
Si je ne me trompes tu es partis seul, histoire de te retrouver avec toi même (après un passage à vide) laissant tes hommes en renfort à la fermette tout en sachant bien qu'ils auraient fallut qu’ils soient 10 fois plus nombreux pour compenser ton absence. Ta vaillance et ton courage valent mille hommes.

On a eu cette discussion ailleurs. Mais, sans chercher à citer la conclusion, de mémoire Tibors était en effet parti en effectif restreint : lui-même, Justice et Bernard de Meaux (lui aussi avec un cheval).

La route est longue jusqu'à Châteaulin.

La nuit avant d'arriver il a plut. Beaucoup.

Quand vous entrez dans le village la route est boueuse. Le village est l'antithèse de Fay. Les gens sont courbés, malade, le regard fuyant. Il y'a une sorte de place centrale avec une église. L’église est en piteux états, de la mousse et du lierre ronge la pierre. Quelques vitraux ont été brisée. Un semblant de porcherie fait office de Taverne.
Il y' a un pilori sur cette place et une femme y est attachée. Un homme est entrain d'être fouetté par 2 autres qui ricane grassement. Ils lui demandent de manger un étrons au proportion conséquente.
"Tu cherchais la merde et bien tu l'as trouvé et tu vas la manger".

Chateaulin est un village typique du moyen âge ou le joug du seigneur est aussi dur que le fouet de ces sbires.
Un Village pauvre peuplés de paysans qui ressemblent plus à de pauvres hères en haillons qu'a des hommes.

Tibors est plutôt surpris de l'état du village. Certes ce n'est pas rare de trouver un village dans cet état avec des paysans et villageois en souffrance mais Tibors espérait mieux de la part d'Adrien de Châtelain. Et que dirait son père dont il fut l'écuyer ?
A Chateauledrun, le village avait plus fière allure.

Tibors se rapproche d'un air décidé vers le pilori et les gardes, ignorant Bernard de Meaux qui essaie de l'inciter à faire montre de mesure et jouer profil bas.

- Hola mes braves !
Les deux hommes stoppent leur rire gras et regarde le nouveau venu avec un regard teinté de suspicion et de méfiance. Tibors dénote dans ce décors, avec son équipement de qualité, bien entretenu et son cheval de guerre imposant. Les deux grouillots le dévisagent de la tête au pieds. Un chevalier en armure et avec un cheval de guerre, un écuyer derrière lui mieux équipé que bcp de chevaliers errants.
L'un des deux, peut-être un peu moins fin, porte la main vers le gourdin qui lui sert d'arme avant que l'autre ne le retienne.
- Qui t'es toi ? Qu'est ce...
- Je suis Tibors de Penthièvre, fils de feu le Baron Alain de Penthièvre. Veuillez me conduire à Adrien de Chateauledrun. De suite.

Les deux hommes se regardent, hésitent.

Derrière Tibors, Bernard ne peut masquer un soupir. Il avait pourtant évoqué la veille au soir le fait qu'il serait peut-être prudent de rester discret et d'en apprendre plus avant d'agir.

Bernard ne peux manquer un soupir...........
Et toi un sourire un peu jaune quand tu vois les 5 doigts de sa main bien écartés occupés à flatter l'encolure de son cheval.

5 doigts comme........ton regard balaye la scène..............comme les 5 hommes que tu repères.

Tu as vu un peu rouge, c'est ton coté chevaleresque, ton sang n'a fait qu'un tour....

Heureusement ton entrée en matière quelque peu fracassante a figé les esprit. Tu en profites pour refaire marcher le tien.

Les 2 hommes qui fouettent le pauvre hère non rien de simples malandrins. Ô, pas de de maille ni d'épée à 2 mains, mais une veste en cuir cloutés, propre, une masse et de longue dague qui permet d'achever un chevalier à terre pataugeant dans la boue. Et surtout leur yeux que tu as croisés en cherchant à instiller la peur, peine perdu, pas de peur, un sourire et du sarcasme. Ce ne sont pas de vulgaires brigands.

Sous le toit d'un appentis, un peu dans l'ombre il y'en a 2 autres. Dont un avec une arbalète lourde non armée mais ce genre de matériel est réservé à l'élite des mercenaires. L'arbalétrier semble être protégé par l'autre brigand qui tient entre ces mains un épieu ou une lance de chasse. Une arme à la large lame, affûté, mortel aussi bien pour les ours que les sangliers ou....les chevaliers.

Le dernier de l'autre coté de la place, une grand homme comme Ulfius avec une large cognée négligemment posée à portée de main.

Aucune peur dans ces hommes. Ce ne sont pas de simples brigands, peut-êtres des hommes d'armes ou alors de bons mercenaires.

Toi contre eux 5, ce serait serré, très serré. Trop peut-être.


Hola, Messire Chevalier, je vous enjoins en toute amabilité et avec tout le respect que je vous dois à passer votre chemin et à ne point vous salir avec la boue de ce misérable village. Les affaires des gueux ne sont point votre, de plus nobles taches doivent vous attendre.

Le ton est aimable, peut-être un peu trop, pour ne pas être provocant.

Un dernier coup d'oeil : l'Arbalétrier a mis la main sur son cric, il est prêt à remonter son Arbalète Lourde.

Un peu d'adversité se dit Tibors. Sa main se porte machinalement à la garde de son épée.
Ces gredins vont avoir ce qu'ils méritent. Ca fait un moment que Tibors n'a pas affronté une vrai adversité. Il regarde à côté de lui et... se rappelle qu'il est avec Bernard de Meaux et non Ulfius ! Bernard est certes un homme d'arme mais en aucun cas le combattant hors pair qu'est Ulfius, capable d'encaisser les coups à sa place.

La voix du mercenaire lui offre une porte de sortie. Et après tout, s'ils méritent une leçon, ils la recevront tôt ou tard.
- Bien. Après tout, vous savez bien en votre âme et conscience si ce malandrin doit être puni ou non. Bonne journée à vous.

Tibors fait donc s'écarter prudemment Justice des deux guerriers. Il reste méfiant. Les soldats également. Comme deux chiens qui se reniflent la queue aurait probablement dit Aodren. La tension reste un moment élevée avant de redescendre doucement. Le château de Chateaulin n'est plus très loin. Mais tout laisse penser que cela ne sera pas de simples retrouvailles joyeuses entre vieux amis...

Chateaulin est situé sur l'Aulne. Le village devrait être prospère avec la navigation et le péage du pont.
Renseignement pris hier soir dans la petite bourgade ou vous avez passé la nuit dernière, il faut s'avancer profondément dans sombre forêt qui ceint les collines du massif Armoricain pour arriver au chateau de Chateaulin.

Justement vous traversez le pont, ou 2 autres mercenaires vous dévisagent.

Vous traversez. Il y'a un embranchement juste après le pont.
Un chemin part vers Plomodiern et un autre s'enfonce dans la forêt.
Tu te diriges vers celui-ci quand tu entends l'un des mercenaires.

Tout doux monseigneur, il me semble que vous vous trompez de route. Celle-ci mène au chateau et La dame de Kastellin ne veut point de visite et ils serait fort discourtois d'aller contre son désir, n'est ce pas Noble chevalier ?

Les 2 mercenaires du pont on été rejoint par 4 des mercenaires de la place du village. Il n'y a pas de vraiment menace, juste l'assurance tranquille d'un homme qui a du saigner plus d'hommes que de porcs.

Tibors se retourne, joue un air vraiment surpris. Il est temps de revenir à la raison et de changer de stratégie. Il oublie un peu sa cape de preu chevalier, droit, noble et héros de fay et se repositionne dans le rôle qu'il a souvent affectionné dans sa prime jeunesse, celui de l'enfant malicieux et un peu roublard qui arrive à ses fins, qu'importe si le moyen est détourné.
Sa voix est claire, honnête, un tantinet naïve, presque :
- Comment cela ? Ce n'est pas la route de Plomodiern par ces bois ?
Le mercenaire hésite un instant avant de répondre.
- Non monseigneur. Suivez ce chemin qui longe l'Aulne. Vous y serez sans soucis avant la fin de la journée.

Tibors fait un signe de salut et poursuit donc son chemin sur le chemin que lui a conseillé le garde. Il adopte un trot léger, ni trop rapide pour éveiller les soupçons mais suffisant pour distancer les mercenaires.
Tibors et Bernard poursuivent jusqu'au village de Plomodiern.

Là ils prennent des renseignements discrets sur la région et sur Adrien et la dame de Kastellin. Tibors essaie également de trouver un marchand en partance vers Fay ou même Nantes et lui confie un courrier où il fait un point sur la situation et explique qu'il va essayer de s'approcher discrètement du château.

Tibors reste la nuit et une journée à Plomodiern. Il fait ensuite mine de partir plus loin vers le nord mais change discrètement de plan pour aller traverser la forêt hors de chemins battus. Bernard l'accompagnera mais restera en retrait avec pour consigne de partir au galot vers fay si les choses tournent mal.

Un p'tit up d'avant les vacances ?

Dans la petite mais accueillante "maison de passage"; ainsi se nomme l'auberge-taverne du petit village, vous trouvez pâtés appétissants et un petit vin du cru à base de pommes assez sympathique.  Écus, vin et bonnes chères délient facilement les langues.
Les gens du cru vous parle de la baronnie de Kastellin.
Déjà vous avez été bien chanceux d'en ressortir vivant. Ils attaquent ou rançonnent tout ceux qui passent par là.
La Dame de Kastellin semble sous le joug de ces brigands depuis que le baron Adrian est mort.
On dit qu'il est mort au cours d'une chasse (après discussion il serait mort dans les environs de l'été 1191).
D'autres racontars disent que la Dame est mauvaise et qu'elle se fait obéir de bêtes sauvages comme des ours et qu'elle copule avec (oups pardon monseigneur d'avoir été aussi grossier le bon vin délie les langues au delà de la raison !!!!).
D'autres plus vieux disent que le château est maudit et que tout cela n'est que la malédiction du Druide Noir.

L'après midi se passe et la tête te tourne légèrement. Ton score de 2 en carouse ne te permet pas de faire semblant de boire pendant tout un après midi et en plus de ce petit vin de pomme tape à la longue (tu gagnes un niveau de fatigue à long termes).

Tu n'as pas réussi à avoir plus d'info sur une sente qui mènerait à travers bois jusqu'au château. Les gueux sont interdits de chasse et le braconnage est sévèrement réprouvé. De toutes façon c'est plus un village de pêcheur que de chasseur.

Tu passes finalement la nuit à Plomerdiern, une bonne nuit d'ailleurs, ton niveau de fatigue à long termes a disparu.

Le lendemain matin tu pars et tu t'enfonce dans la forêt noire qui recouvre le massif armoricain...............................

Lu. J'attends la suite du coup.

Lu. J'attends la suite du coup.  

edit : ils parlent bien de la mort d'Adrien (faute de frappe) ? La date correspond (arrête-moi si je me trompe) à la période où nous étions partis à la recherche de Sire Pelnore ? Soit juste avant son mariage, en fait.

Tibors évite de poser des questions trop orientées. Mais il cherche tout de même à savoir si ces histoires ne mettraient pas en scène une femme rousse ?
Il demande aussi à quoi ressemble la dame de Kastellin.

Adrian est bien le Baron (faute de frappe que j'ai corrigé, c'est Adrain et non Adrien).
La date correspondrait bien à la mort de ton père et à la période où vous êtes partis à la recherche de Sire Pelnor.

Tu tournes autour du pot mais les bouseux ne se font pas échos d'une dame rousse et des bohémiens.

Il fait sombre et même si c'est l'été de lourd nuages planent bas dans le ciel. Le peu de lumière n'arrive pas à percer le feuillage touffu des hauts arbres de la forêt.
Justice est nerveux.

Tu progresses très lentement. La forêt n'offre que peu de sentiers pour progresser et tu es souvent obligés de prendre des tours et des détours. Ta progression ce fait plus difficile, certaines branches te frôlent comme des doigts crochus, des buissons épineux écorchent les pattes de Justice.
Le chemin que tu avais parcouru en quelques heurs quand tu étais aller à Plomodiern te semble interminable, l'Après midi est bien entamé et au moment ou tu te sens prêt à retourner en arrière tu vois pointer une grande tour au loin au dessus du faîte des arbres.

A cœur Vaillant rien d'impossible, le sourire te reviens.

Quand tu débouches sur une très grandes clairière où apparaît un château de conte de fée le crépuscule n'est pas loin.
Et quel Chateau !!! Tu n'en as jamais vu de pareil !

La beauté du château pourrait être à nul autre pareil s'il n'était défiguré en étant à moitié détruit !!!

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La herse est levée, et 2 hallebardiers semblent se tenir sur le pont-levis baissé.
Tu entends quelques aboiements de gros mastiffs.

Les aboiements viennent d'où? Ils viennent dans la direction de Tibors?
Je pensais venir sans Justice en fait mais pas de soucis.

Tibors ne prend pas de risques s'il sent qu'il est repéré il fuira. Sinon il tentera de profiter de la nuit pour s'infiltrer en passant par les murailles endommagées.